La vaccination du chien

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ZOOM SUR... Les vaccins jouent un rôle crucial dans la santé de votre chien. En protégeant votre compagnon contre des maladies potentiellement graves et transmissibles à l’homme, vous assurez sa sécurité et son bien-être.

La vaccination du chien

En France, aucun vaccin n’est obligatoire ni imposé par la loi pour vos compagnons à quatre pattes. Seul le vaccin contre la rage est obligatoire si vous souhaitez les emmener en voyage avec vous hors du territoire français ou si vous avez un chien de catégorie 1 ou 2. Ces vaccins ne sont pas obligatoires mais très fortement recommandés, car ils protègent votre chien contre des maladies potentiellement mortelles. Certaines de ces maladies sont aussi transmissibles à l’homme, ce sont des zoonoses. Enfin, si vous souhaitez faire garder votre chien, certains vaccins pourront aussi vous être demandés.

Les chiots sont protégés par les anticorps de leur mère jusqu’à leurs 8 semaines environ. Après cela, il est très fortement conseillé de les faire vacciner contre différentes maladies, dès leur plus jeune âge pour éviter tout risque de contamination, voire de décès. En effet, certaines de ces maladies peuvent être mortelles, surtout chez le chiot qui a un système immunitaire plus fragile et qui est donc plus à risque que les chiens adultes.

Quels sont les principaux vaccins à réaliser chez le chien ?

  • Vaccin contre la maladie de Carré

Il s’agit d’une maladie virale grave, à haut risque mortel, due à un virus proche de la rougeole humaine. Cette infection est transmise via des excrétions ou des sécrétions (salive, éternuements, urines, selles) contenant le virus provenant d’un chien malade.

Ce virus atteint de nombreux organes du chien, dont le tube digestif, l’appareil urinaire et l’appareil respiratoire. Lors de stades avancés de la maladie, le virus peut atteindre le système nerveux. Les symptômes sont très diversifiés. Votre chien pourra avoir des symptômes généraux tels que de la fièvre ou de l’abattement, des symptômes respiratoires tels que de la toux, des difficultés respiratoires et des écoulements nasaux, des symptômes digestifs tels que de la diarrhée et des vomissements, des signes oculaires, cutanés et des signes nerveux tels que des convulsions. Dès l’apparition de ces symptômes, n’hésitez pas à vous rendre à la clinique de votre vétérinaire pour qu’il l’examine.
Le vaccin est le meilleur moyen de prévenir la maladie. Il faudra vacciner votre chiot à partir de ses 8 semaines, grâce à deux ou trois injections. Selon les protocoles, il faut ensuite des rappels de vaccin tous les un à trois ans.

  • Vaccin contre l’hépatite de Rubarth

Il s’agit d’une maladie virale, très contagieuse. Cette infection est peu fréquente mais peut être très grave. 

Le virus est très résistant dans le milieu extérieur, jusqu’à plusieurs semaines, dans les urines, les selles ou la salive. Il se transmet donc par voie orale, par contact direct avec un chien atteint de l’hépatite de Rubarth ou via des objets souillés.

Après contamination, les symptômes se déclarent généralement 3 à 9 jours plus tard. Le virus entraîne une destruction du foie, d’où le nom d’”hépatite”. Les symptômes sont généralement de l’abattement, de l’anorexie, la fièvre, des vomissements, de la diarrhée et une douleur abdominale.

Le vaccin est le meilleur moyen de prévention. Votre chiot pourra être vacciné à partir de ses 8 semaines. Le protocole de primovaccination nécessite généralement deux injections à 3 à 5 semaines d’intervalle, suivi de rappels tous les 1 à 3 ans.

  • Vaccin contre la parvovirose

La parvovirose est une maladie virale, très contagieuse, à l’origine d’une gastro-entérite hémorragique, à très fort potentiel mortel. Cette infection touche particulièrement les jeunes chiots non vaccinés.

Le virus responsable est émis dans les selles. Il est très résistant dans le milieu extérieur, ce qui conduit à des transmissions indirectes, via une personne qui aurait touché un objet souillé ou un chien malade par exemple. Il faut donc isoler les chiens malades et prendre de grandes précautions hygiéniques pour éviter toute épidémie.

Les symptômes sont ceux d’une gastro-entérite hémorragique, c’est-à-dire de la diarrhée abondante contenant du sang et des vomissements importants pouvant aussi contenir du sang. Les autres symptômes sont de l’abattement, de l’anorexie, des crampes abdominales et de la fièvre. Dès l’apparition de ces symptômes, n’hésitez pas à vous rendre à la clinique de votre vétérinaire pour qu’il l’examine.

Le vaccin est le meilleur moyen de prévention. Le vaccin contre la parvovirose fait partie du protocole vaccinal de base. Les chiots sont vaccinés à partir de leur 8 semaines. Le protocole de primovaccination se compose généralement de deux injections de vaccins à 3 à 5 semaines d’intervalle, suivies d’un rappel de vaccin tous les ans. 

Si votre chiot est trop jeune pour être vacciné, pensez à ne pas le mettre en contact avec d’autres chiens, même vaccinés, et à ne pas le promener dans des zones de forte fréquentation canine, comme les parcs à chiens.

  • Vaccin contre la leptospirose

La leptospirose est une maladie bactérienne très grave. Elle est provoquée principalement par quatre bactéries du type Leptospira. Ces bactéries sont généralement présentes dans les eaux stagnantes. En effet, les rats sont souvent contaminés par cette maladie et ils libèrent les bactéries en urinant. Leurs urines se retrouvent dans les flaques d’eau stagnante et les chiens se contaminent en buvant dans ces flaques ou en se baignant dans des marres d’eau croupie. 

Cette maladie est très contagieuse. Elle est transmissible à l’Homme par contact cutané avec de l’urine de chien malade. 

Il existe différentes formes de leptospirose. La forme la plus classique présente trois atteintes caractéristiques, comprenant une gastro-entérite hémorragique, c’est-à-dire des vomissements et des diarrhées contenant du sang, une insuffisance rénale aiguë, c’est-à-dire une atteinte des reins où le chien n'urine plus ou très peu et une jaunisse, c’est-à-dire une atteinte sévère du foie. Le chien atteint de leptospirose a de la fièvre, les gencives jaunes, les urines très foncées et il est très abattu. 

Il existe aussi une forme oculaire et une forme respiratoire, touchant les poumons.

Le vaccin contre la leptospirose est le meilleur moyen de prévention. Un vaccin permet de protéger les chiens contre les quatre bactéries étant responsables de la leptospirose. Celui-ci est fortement recommandé. Votre chiot peut être vacciné dès ses 8 semaines avec un rappel 3 à 5 semaines plus tard. Il devra ensuite recevoir un rappel tous les ans. Pour les chiens les plus à risque, comme les chiens de chasse par exemple, un rappel tous les 6 mois peut être envisagé.

Pour tous ces vaccins, pour les jeunes chiots en période de première vaccination, il sera important de les tenir en laisse lors des promenades pour leur éviter le contact direct avec des chiens inconnus et pour leur éviter le contact avec des zones où l’on trouve beaucoup d’urines et de déjections d’autres chiens.

Quels sont les autres vaccins possibles à réaliser sur un chien ?

  • Vaccin contre la maladie de Lyme

La maladie de Lyme est une maladie bactérienne qui touche aussi l’Homme et d’autres espèces animales. Elle est transmise par certaines tiques lorsque celles-ci se fixent sur le chien. La tique a besoin de rester fixée au moins 48 à 72h sur le chien pour pouvoir transmettre la maladie. Elle est plus fréquente au printemps et à l’automne, lors de l’activité maximale des tiques. Voici d'ailleurs un rappel sur les différents dangers du printemps.

Il existe une forme aiguë et une forme chronique. Pour la forme aiguë, les symptômes sont une boiterie d’apparition brutale, très douloureuse et intermittente, généralement au niveau d’une seule articulation. Il arrive que plusieurs articulations soient touchées à la suite. Le chien présente aussi de la fièvre et de l’abattement. Lors de forme chronique, la boiterie est moins importante et le chien peut aussi présenter des douleurs diffuses sur le corps, des troubles cardiaques ou rénaux.

Il est très important d’éviter que votre chien se fasse mordre par une tique, en utilisant un anti-tique puissant. Il faut cependant faire attention aux très jeunes chiots car certains anti-parasitaires externes peuvent être contre-indiqués. N’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire traitant. Pensez aussi à retirer les tiques de votre chien après une balade en utilisant un crochet spécial.

Un vaccin contre la maladie de Lyme existe. Il est très important de faire vacciner les chiens particulièrement à risque, comme les chiens de chasse ou les chiens allant se balader en forêt. Le premier vaccin peut être réalisé à partir des 12 semaines de votre chiot et un rappel doit être effectué 3 à 5 semaines plus tard. Les rappels sont ensuite annuels. Ce vaccin ne peut pas être réalisé en même temps que le protocole vaccinal de base nommé CHPPiL (Maladie de Carré, Hépatite de Rubarth, Parvovirose, Parainfluenza, Leptospirose).

  • Vaccin contre la piroplasmose

La piroplasmose est une maladie due à un parasite du sang. Celui-ci est transmis par certaines tiques lors d’une morsure. Comme pour la maladie de Lyme, cette maladie est plus fréquente au printemps et à l’automne lors de la forte période d’activité des tiques. Le parasite entre dans les globules rouges et les fait exploser. Le chien est alors anémié, c’est-à-dire qu’il n’a plus assez de globules rouges. La forme la plus classique est une forme aiguë. Votre chien est très abattu, ne mange plus, a une forte fièvre qui peut être intermittente. Les urines deviennent très foncées dans un cas sur deux à cause de la destruction des globules rouges par le parasite. Il peut s’en suivre de graves complications au niveau du foie et des reins. 

Comme pour la maladie de Lyme, il est recommandé de bien traiter toute l’année votre chien avec un anti-tique et d’inspecter votre chien en rentrant de balade pour retirer les tiques à l’aide d’un crochet tire-tique.

Il existe un vaccin contre la piroplasmose. Cependant, les animaux vaccinés ne sont pas toujours complètement protégés car le vaccin n’est pas toujours complètement efficace. Le vaccin permet de limiter la gravité des symptômes. C’est de ce fait parfois plus difficile de diagnostiquer la maladie. La première vaccination se fait à partir des 5 mois du chiot grâce à deux injections espacées de 3 à 5 semaines. La protection dure environ 6 mois. Pour les chiens très à risque, comme les chiens se baladant beaucoup en forêt, un rappel semestriel devra être réalisé.

  • Vaccin contre la toux du chenil

La toux du chenil est une maladie respiratoire infectieuse très contagieuse qui touche principalement la trachée et les bronches. Elle peut être causée par plusieurs virus, notamment le virus Parainfluenza, et par une bactérie, Bordetella bronchiseptica. Cette dernière est très résistante dans le milieu extérieur. De plus, elle se transmet très facilement de chien à chien, via un contact truffe à truffe ou par les gouttelettes émises par un chien malade lorsqu’il tousse ou éternue. C’est de là qu’elle tire son nom : cette maladie se transmet plus rapidement en communauté, dans les chenils ou élevages par exemple. Il n’y a pas de prédisposition raciale, mais il faudra tout de même faire particulièrement attention aux chiens à nez écrasé, comme les bouledogues, les boxers ou les carlins, qui sont plus fragiles sur le plan respiratoire. 

Les symptômes de la toux du chenil sont principalement une toux sèche, quinteuse et rauque. Celle-ci peut durer 3 à 6 semaines. Ils peuvent aussi être accompagnés d’un écoulement nasal, d’un écoulement oculaire, des éternuements, une conjonctivite. Pour les formes plus sérieuses, le chien peut présenter une baisse d’appétit, de la fatigue et de la fièvre. 

La toux du chenil est peu fréquemment mortelle, mais il faut prendre ses symptômes au sérieux pour éviter les séquelles et le décès du chien. Il est recommandé d’éviter les contacts avec d’autres chiens pendant 4 mois après la guérison par précaution.

Le vaccin contre la toux du chenil est le meilleur moyen de prévention. Il existe un vaccin sous forme injectable, administré en même temps que les autres vaccins. Il existe aussi un vaccin contre la toux du chenil à instiller en intranasal. Il permet une protection locale contre la bactérie Bordetella bronchiseptica et le virus Parainfluenza. Il développe les défenses immunitaires dès le début des voies respiratoires, au niveau du nez. Votre chiot peut être vacciné dès ses 8 semaines, avec un rappel annuel. Ce vaccin est souvent exigé lorsque vous laissez votre chien en pension canine ou en chenil pour les vacances. Il est recommandé de le faire au moins 3 à 5 jours avant le gardiennage.

  • Vaccin contre la leishmaniose

La leishmaniose est une maladie grave qui est transmise par un moustique, le phlébotome. Il s’agit d’une maladie incurable, ce qui signifie qu’il n’y a pas de traitement spécifique pouvant guérir complètement l’animal. Cette maladie se retrouve principalement au niveau du bassin méditerranéen car c’est dans cette zone que le phlébotome est présent. La transmission ne se fait pas de chien à chien, elle se fait seulement par piqûre du phlébotome.

Les symptômes de la leishmaniose sont variés : symptômes dermatologiques (croûtes et pellicules), signes généraux (amaigrissement), symptômes rénaux (insuffisance rénale).

La prévention contre cette maladie consiste à lutter contre ce moustique en utilisant des antiparasitaires contre le phlébotome (collier ou pipette répulsifs) et en vaccinant votre chien contre la leishmaniose. Discutez en avec votre vétérinaire, il pourra vous donner des conseils, en vous disant de vacciner votre chien contre la leishmaniose si vous résidez dans le Sud de la France ou si vous y allez en vacances. Le vaccin s’injecte à partir des 6 mois de l’animal et une seule injection est nécessaire, qu’il faudra renouveler tous les ans. La protection commence environ 4 semaines après la vaccination. Il faudra donc y penser à l’avance si vous allez en vacances au niveau du pourtour méditerranéen. Des études ont montré que le vaccin est efficace à 72%, ce qui est bien mais pas parfait. La meilleure prévention est donc d’allier antiparasitaires répulsifs et vaccin, pour que votre chien soit le mieux protégé possible.

Et si je souhaite emmener mon animal à l’étranger ?

Le vaccin contre la rage est le seul vaccin qui peut être obligatoire en France. En effet, il sera obligatoire de faire vacciner votre chien contre la rage s’il doit voyager en dehors des frontières du territoire national. Pour connaître toutes les modalités pour partir en vacances avec votre chien, consultez notre article. Et pour obtenir plus de conseils sur comment voyager avec un chien : rendez-vous ici.

Pour pouvoir être vacciné contre la rage, votre chien doit obligatoirement être identifié avec une puce électronique et avoir minimum 12 semaines d’âge. Lorsque votre chien est vacciné pour la première fois contre la rage, ce vaccin est valable 21 jours plus tard. 

De plus, la loi française impose aux propriétaires de chiens de catégorie 1 et 2 d’être vaccinés contre la rage.

Enfin, la rage est une maladie très grave, qui est toujours mortelle à partir du moment où les premiers signes de la maladie se sont déclarés. Il n’existe pas de traitement spécifique. Elle se transmet via la salive des animaux infectés, par contact direct, à travers une morsure, une griffure ou un léchage sur une peau préalablement blessée. La rage est une zoonose, c’est à dire qu’elle est transmissible à l’Homme. Elle touche directement le système nerveux du chien et crée une inflammation du cerveau. Il faut savoir qu’il peut se passer entre neuf jours et un an entre la morsure et le début des symptômes. C’est ce qu’on appelle la période d’incubation. Votre chien présente alors de la fièvre et des changements de comportement. Puis, il va devenir agressif, désorienté et saliver de manière importante. Enfin, la rage va entraîner une paralysie des muscles respiratoires, conduisant à sa mort.

Quels sont les effets indésirables des vaccins chez le chien ?

Tout d’abord, il faut savoir que la vaccination ne peut être réalisée que sur un animal en bonne santé. Notre booster canin pourra soutenir votre chien au quotidien. Les effets indésirables dus aux vaccins sont rares. Certaines de ces réactions sont normales et sont le reflet de la réaction de l’organisme face au vaccin.

Il existe des effets secondaires sans gravité. Après la vaccination, votre animal peut avoir une inflammation au niveau du point d’injection, cela formera un nodule, une “boule”, plus ou moins importante, non douloureuse et non chaude. Cette réaction est fréquente. Cela disparaît généralement au bout de quelques jours, mais peut prendre jusqu’à 2 ou 3 semaines pour se résorber. Cependant, si vous avez l’impression que cette “boule” ne diminue pas de taille, voire continue à grossir au fil des semaines, n’hésitez pas à prendre rendez-vous chez votre vétérinaire pour qu’il examine votre animal et qu’il vous donne des conseils. 

Les vaccins peuvent aussi entraîner une perte d’appétit, de la fièvre ou de la fatigue (comme pour nous !). Ces symptômes apparaissent généralement rapidement après l’injection du vaccin et disparaissent en quelques jours.

Dans certains cas, très rares, un abcès peut se former au niveau du point d’injection. La “boule” sera alors chaude et douloureuse. Il faudra alors prendre rendez-vous avec votre vétérinaire pour qu’il traite l’abcès.

Enfin, certains animaux peuvent faire des réactions allergiques aux vaccins, provoquant des troubles digestifs, cutanés, respiratoires ou neurologiques. Surveillez bien votre animal après l’injection du vaccin, pour vérifier que tout va bien.

Les différents rappels de vaccins chez le chien

Lorsque vous faites vacciner votre chien pour la première fois, on parle de “primovaccination”. Cela consiste en deux ou trois injections à 3 à 5 semaines d’intervalle. Les chiots peuvent être vaccinés à partir de leurs 8 semaines pour l’ensemble des vaccins CHPPiL4, lorsqu’ils ne sont plus protégés par les anticorps de leur mère. Les vignettes des vaccins seront collées par votre vétérinaire dans son carnet de santé pour animaux ou dans un passeport européen pour le vaccin contre la rage. Les vaccins contre la piroplasmose et la maladie de Lyme ne peuvent pas être réalisés en même temps que les autres vaccins (CHPPiL4). Cela risquerait de provoquer des réactions allergiques.

Des rappels de vaccins sont ensuite à réaliser tous les ans, pour maintenir la protection contre les maladies et réactiver ses anticorps vaccinaux. Il arrive souvent que les vétérinaires traitants envoient un courrier ou un mail pour rappeler aux propriétaires que leur animal doit être vacciné à telle date. Votre vétérinaire traitant choisira le protocole vaccinal en fonction du mode de vie de votre chien. La consultation vaccinale permet aussi au vétérinaire de réaliser un check-up de santé, pour vérifier ses yeux, son cœur, ses oreilles, etc. Ces friandises pourront vous aider à rendre la consultation vaccinale plus facile. Il vous conseillera aussi des antiparasitaires pour réaliser une protection et une prévention contre les puces, les tiques et les vers.

Un chien vacciné dès son plus jeune âge doit continuer à l’être même lorsqu’il est âgé. En effet, un chien âgé est encore plus vulnérable face à ces maladies infectieuses.

Ces vaccins peuvent permettre d'allonger son espérance de vie et d’améliorer son bien-être.

Les vaccins pour chien sont-ils remboursés par les assurances / mutuelles ?

La loi française impose la vaccination contre la rage pour les chiens de catégorie 1 et 2 et lorsque vous voyagez avec votre chien.

Le prix du vaccin complet pour les différentes maladies (CHPPiL4) est d’environ 50 à 70€. Les vaccins pour la maladie de Lyme, la piroplasmose et la leishmaniose sont généralement plus chers. Cela peut dépendre des structures.

Certaines assurances santé ou mutuelles pour animaux de compagnie prennent en charge une partie, voire la totalité, du prix de la consultation vaccinale. Cela dépend des assurances et des formules. Par exemple, une assurance rembourse les vaccins à hauteur de 20€ par an puis ce montant augmente avec les formules supérieures. Une autre assurance pourra proposer des garanties “prévention”, prenant en charge une partie des vaccins, des vermifuges et des antiparasitaires pour puces et tiques. Attention cependant, certaines compagnies d’assurance ne prennent pas en charge la consultation vaccinale, peu importe la formule choisie. Veillez à vous renseigner pour bien choisir l’assurance pour votre animal et n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire traitant ou consulter notre article.

 

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 Il est important de connaître le suivi vaccinal du chien, notamment en cas de morsureSi vous avez des questions sur le schéma vaccinal de votre félin ou sur les contre-indications, contactez notre équipe par téléphone ou via le formulaire de contact. Vous avez un chat et vous aimeriez savoir s'il peut tester nos recettes ? Découvrez la recette idéale grâce à notre questionnaire. Nous proposons une large gamme de produits, même des croquettes pour le confort urinaire de votre félin !  

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